MRAP 66 - L'ACTU DU COMITÉ LOCAL DE PERPIGNAN
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Pour une mémoire partagée entre l’Algérie et la France

7/29/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

Le Président de la République a confié à Benjamin Stora une mission mémorielle afin qu’il dresse "un état des lieux sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie ainsi que de la perception qui en est retenue, de part et d'autre des deux rives de la Méditerrané." Le MRAP apprécie cette initiative.

La décision du Président français se situe dans la continuité de la reconnaissance que Maurice Audin a été torturé puis exécuté ou torturé à mort par des militaires et que cette mort a été rendue possible par "un système légalement institué". Elle intervient dans le sillage du rapatriement depuis la France des restes mortuaires de résistants algériens à la colonisation.

La mission confiée à Benjamin Stora ne saurait cependant aboutir sans une ouverture réelle des archives françaises sur la Guerre d’Algérie, qui est de fait compromise depuis la fin de 2019 par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) contrairement à la loi et aux espoirs qu'avait fait naître les "souhaits" du Président Macron exprimés le 13 septembre 2018 lors de sa visite à Madame Josette Audin.

Le MRAP connaît la qualité du travail d’historien de Benjamin Stora avec lequel il a notamment participé à la journée d'étude organisée par l'association Josette et Maurice Audin et par l'association, Histoire coloniale et postcoloniale, le 20 septembre 2019, sur le thème "Les disparus de la guerre d'Algérie du fait des forces de l'ordre françaises : vérité et justice ?". Il ne doute pas que Benjamin Stora saura faire progresser la reconnaissance de l’histoire commune de l’Algérie et de la France pour une mémoire partagée apaisée, de la réalité de la colonisation et de la guerre d’Algérie.
​
Le MRAP lui souhaite plein succès dans la mission que vient de lui confier le Président de la République.

Paris, le 29 juillet 2020

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Gisèle HALIMI, une grande militante

7/29/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

Le MRAP a appris avec une grande tristesse le décès de Gisèle Halimi ; il assure sa famille, ses amis de ses plus sincères condoléances.

Gisèle Halimi fut une grande militante anticolonialiste ; avocate de militants du FLN, elle a dénoncé la torture pratiquée par l’armée française ; elle a été notamment en 1960 l’avocate de Djamila Boupacha, militante du FLN, torturée et violée en détention par des soldats français. De la même manière elle dénonça les crimes de guerre commis par l’armée américaine au Vietnam et présida une commission d’enquête du premier tribunal Russell sur ces crimes. Elle fut également l’une des avocates du Palestinien Marwan Barghouti emprisonné en Israël et membre du comité de parrainage du tribunal Russell sur la Palestine en 2009.

Gisèle Halimi fut une grande militante de la cause des femmes. Elle fut signataire en 1971 du Manifeste des 343 femmes qui déclaraient avoir avorté et réclamaient le libre accès aux moyens anticonceptionnels et à l’avortement libre. Dans le cadre de ce combat, au procès de Bobigny en 1972, elle obtint la relaxe pour Marie-Claire, une jeune fille de seize ans qui avait avorté après un viol, le sursis pour la mère et la relaxe pour les deux amies qui avaient aidé Marie-Claire. Ce procès a contribué à l'adoption de la loi Veil sur l'interruption volontaire de grossesse.

Après une vie de combats pour la justice et la dignité, Gisèle Halimi s’est éteinte mais ses engagements pour le droit des peuples, pour les droits des femmes demeurent plus que jamais d’actualité.

​Paris, le 29 juillet 2020

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LIBÉREZ SALAH HAMOURI

7/2/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

​Le 30 juin, Salah Hamouri, avocat franco-palestinien, a été une fois de plus arrêté par les autorités israéliennes à Jérusalem alors qu'il se rendait dans un centre de santé pour un test de la Covid-19, obligatoire pour se rendre en France et y retrouver sa famille.

Le 1er juillet, le tribunal a placé Salah Hamouri en détention administrative, c'est-à-dire sans charge ni possibilité de se défendre.

Cette nouvelle arrestation est inadmissible et insupportable.

Déjà en 2017, arrêté quelque jours avant un voyage en France, il avait subi 13 mois de détention administrative sans jugement.

Le MRAP condamne cet acharnement israélien à son encontre et demande sa libération immédiate et sa liberté de circuler, en particulier pour aller voir sa famille en France.

Il demande au gouvernement français d’intervenir pour exiger sa libération comme il l’a fait à d’autres occasions pour des Français détenus à l’étranger.
​
Paris, le 2 juillet 2020

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Un grand pacifiste n’est plus

6/22/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

​C’est avec beaucoup d’émotion que le MRAP a appris la mort de Zeev Sternhell dimanche 21 juin à Jérusalem, à l'âge de 85 ans. Né en 1935 dans le Yiddishland polonais, il a connu les douleurs de la Shoah avec toute sa famille massacrée par les nazis. Émigré en France après-guerre puis en Israël dès sa création, il a exercé ses talents d’historien comme professeur à l’université hébraïque de Jérusalem et Sciences Po de Paris où il s’est spécialisé dans le domaine des origines du fascisme et du nazisme.

Parallèlement à ses fonctions d’universitaire il fut l’un des premiers en Israël à reconnaître que l'avenir de ce pays passait par la mise en place de "deux peuples, deux États". Son ouverture vers le peuple palestinien lui a valu des tentatives d’attentats et des campagnes d’intimidation.

Très proche du MRAP, il avait fait une intervention très remarquée au début des années 2000 lors d’un colloque organisé au sénat par notre mouvement.

​Persuadé que le message de fraternité de Zeev Sternhell s’étendra, le MRAP présente à sa famille et à ses proches ses condoléances émues.

Paris, le 22 juin 2020

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Le MRAP solidaire de François Sauterey

6/18/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

"En groupes, en ligues, en processions et même seul à l'occasion il est de ceux qui manifestent..."

François Sauterey, est membre du Bureau National du MRAP, militant historique du SNES-FSU, ancien hébergeur internet du MRAP dans les années 90.

Son engagement sans faille pour défendre les droits humains et les libertés est unanimement reconnu (ex-secrétaire national "droits et libertés" du Snes-FSU, membre du BN de l'AFPS, animateur en son temps du Collectif Droit de vote,...).

Ce premier mai, il est sorti se promener dans son XXè arrondissement à Paris, où il est candidat aux municipales, seul, son attestation dérogatoire en poche, et son drapeau SNES-FSU sur le dos.

Mal lui en prit, puisqu'il a été verbalisé en raison de son drapeau !

Clairement, en dehors de toute règle, la police cherchait à en faire un exemple.

Cet acharnement du gouvernement démontre bien à quel point le renoncement à certaines libertés individuelles pour quelque raison que ce soit, fût elle sanitaire, est une entrave sérieuse à l'encontre de toutes les libertés individuelles et collectives.

Il est à craindre que l'état d'urgence sanitaire soit demain encore instrumentalisée par ce gouvernement pour tenter d'étouffer la contestation et la colère qui grondent.

Le SNES, la LDH défendent Francois Sauterey et tous ceux qui comme lui revendiquent leur liberté d'expression.

Le MRAP soutient bien évidement Francois Sauterey, et avec lui défend le droit de manifester (même seul si besoin !) que ce soit pour lutter contre le racisme d’où qu’il vienne, pour la paix entre les peuples ou des revendications sociales.

Paris, le 17 juin 2020​

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Pour une mémoire collective assumée

6/17/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

Un débat public se développe aujourd'hui à propos des monuments et appellations de lieux publics liés à des hommes ou des événements du passé. La question posée est celle de la construction de la mémoire collective. Le MRAP a toujours attaché une grande importance à cette mémoire collective. 

Des noms du passé à forte dimension symbolique sont présents dans l'espace public sous forme de statues, de monuments, de plaques commémoratives, de noms de rues. La présence et la signification de certains sont devenues contradictoires avec les valeurs que porte la société actuelle et justifient leur retrait de l’espace public. Cela peut se produire après la chute d'une dictature ou après une sombre période historique. Les statues de Pétain ont été retirées de l'espace public. Dans les années 2000, le MRAP a contribué à faire débaptiser des rues Alexis Carrel.

Mais d'autres personnages historiques sont porteurs de réalités politiques complexes, avec leur part de lumière et d’obscurité, ils peuvent avoir eu des actions positives, tout en partageant sur certains points les préjugés de leur époque. Il en est ainsi de Jules Ferry, de Jean-Baptiste Colbert et de bien d'autres.

Tous les citoyens doivent pouvoir connaître l’ensemble des événements et des hommes qui ont fait notre société, ses moments lumineux comme ses aspects les plus sombres.

La construction d'une mémoire collective, y compris dans ses dimensions contradictoires et conflictuelles, passe par un débat démocratique qui refuse les accaparements communautaires de l'histoire et de ses souffrances.  L'effacement de leur trace dans l’espace public ne favorise pas forcément ce travail de mémoire partagée, dont nous avons besoin pour aujourd'hui et pour demain.

Les monuments, les noms de rues, les œuvres d’art doivent intégrer une dimension pédagogique explicative, lorsqu’ils sont chargés des stigmates complexes du passé.

Les façades maritimes françaises comportent de nombreux ports qui furent négriers. Purger nos rues du nom des trafiquants d’êtres humains risque de purger aussi notre mémoire collective. Pour conserver le souvenir de ce sombre passé, il peut être plus opportun de multiplier les plaques et les institutions publiques expliquant ce que fut la traite négrière.

La destruction brutale et unilatérale des traces de l’histoire n'efface ni les souffrances du passé, ni leur mémoire. Ces actions spectaculaires peuvent rendre plus difficile le nécessaire travail de mémoire. Celui-ci doit être débattu collectivement, voulu et assumé par l’ensemble de la société.

Paris, le 17 juin 2020

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Hommage à Maurice Rajsfus

6/15/2020

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Maurice Rajsfus, écrivain, journaliste, militant et historien spécialisé dans les violences policières, est décédé samedi 13 juin à l’âge de 92 ans.

Témoin de la violence des forces de l’ordre contre les Algériens manifestant à Paris le 17 octobre 1961, le 8 février 1962 au métro Charonne et pendant Mai 68, il a passé une grande partie de sa vie à recenser et dénoncer les abus et dérapages des forces de police. Devenu « l’historien de la répression », il dressa des milliers de fiches. Il venait de confier qu’il souhaitait transmettre ses archives.

Il participa à la commission antisémitisme et néonazisme du MRAP pendant de longues années et y apportant tout son talent de militant et d’écrivain.

En 1994, il fonde l’Observatoire des libertés publiques en compagnie de quelques auteurs engagés comme l’écrivain Didier Daeninckx. Il fut aussi un des initiateurs du réseau Ras l’Front (contre le Front national), dont il sera président pendant quelques années. Il créa et anima le bulletin mensuel « Que fait la police ? » qui dénonça pendant près de 25 ans les violences et l’arbitraire policiers.

Rescapé à 14 ans de la Rafle du Veld’Hiv, il n’a cessé de lutter contre toutes les formes d’injustices. Militant contre la guerre d’Algérie, il s’est aussi engagé pour la cause palestinienne. Il fit plusieurs séjours au Proche-Orient et publia plusieurs ouvrages sur le sujet dans les années 1990.

Maurice aurait été heureux de voir la puissance des manifestations contre les violences policières qu’il a toute sa vie contribué à révéler.

A sa famille, à ses proches, le MRAP adresse ses sincères condoléances.

le 14 juin 2020

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Victoire pour la liberté d’expression                    L’appel au boycott est décidément légal !

6/11/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

La Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) vient de rendre un arrêt ce jeudi 11 juin qui condamne la France dans l’affaire dite « de Mulhouse » où des militants avaient fait appel de leur condamnation pour des actions d’appel au boycott des produits israéliens en protestation contre la politique de l’État d'Israël. La CEDH affirme ainsi que le boycott est un droit citoyen quand il est motivé par la critique d'un État et de sa politique

Le MRAP se réjouit de cette décision qui est maintenant sans appel ! Cela met un terme définitif aux tentatives d’empêcher la libre action citoyenne et non-violente en défense des droits des Palestiniens.

Dès lors, il est reconnu que l’appel au boycott pour des raisons de critique de la politique d’un État est un droit citoyen… et que cela concerne aussi la critique de la politique de l’État d’Israël qui viole en permanence le droit international et les droits de l'homme !

Le MRAP appelle le gouvernement français à en tirer toutes les conséquences de cet arrêt en annulant immédiatement les circulaires « Alliot-Marie » et « Mercier ». Le gouvernement doit aussi cesser de menacer et de poursuivre pour antisémitisme les militants les militant(e)s qui critiquent la politique israélienne en menant la campagne non-violente « Boycott-Désinvestissement-Sanction » (BDS).

De même toute clause restrictive dans des chartes régionales sur les subventions pour cause de BDS doit être réputée nulle en non avenue, en particulier en Île de France.

​Le MRAP, qui est partie prenant du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI), appelle tous les citoyens à amplifier la campagne pour la reconnaissance de l’État de Palestine dans ses frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale et pour empêcher Israël d’annexer une partie de la Cisjordanie en exerçant pleinement leur droit, y compris en appelant au boycott des produits israéliens.

Le Bureau National du Mrap, le jeudi 11 juin à 15 h 30

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Un problème enfin posé : le racisme dans la police

6/8/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

Le meurtre de George Floyd mobilise aux États-Unis d’abord, et maintenant dans le monde entier sur la question des violences policières, en particulier celles liées au racisme. Le MRAP partage l’émotion et la révolte exprimées par de larges couches de la population et appelle à toutes les actions unitaires que les circonstances permettent.

Il mesure les différences historiques et structurelles entre les formes du racisme aux États-Unis et en France. Mais il a souvent attiré l’attention sur la présence d’idées et de pratiques discriminatoires dans la police française, que ce soit les contrôles au faciès ou une violence disproportionnée envers certains publics physiquement typés. Le drame d’Adama Traoré vient le rappeler.

La pratique régulière des insultes et menaces racistes est également inadmissible. La capture d’échanges entre policiers sur les réseaux sociaux montre que le racisme est profondément installé chez une partie des policiers. Le MRAP dénonce l’existence de tels échanges non seulement entre des personnes, sur des réseaux de parfois 8 000 abonnés, mais aussi sur des sites comme celui du prétendu syndicat FPIP (fédération Professionnelle Indépendante de la police) qui laisse s’afficher des propos ignobles, des appels explicites à la haine et au meurtre. Le MRAP demande au gouvernement de mettre en œuvre ses déclarations sur l’intolérance au racisme dans les forces de police, de sanctionner tout fonctionnaire qui commet une faute dans ce domaine et de dissoudre une organisation de policiers qui diffuse des positions totalement étrangères aux valeurs de la république.


Paris, 8 juin 2020

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États-Unis : la mort de George Floyd, victime du racisme policier,ne doit pas rester impunie !

5/29/2020

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Communiqué de presse du MRAP national

Depuis plusieurs jours, une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre George Floyd, un homme noir, immobilisé au sol par un policier qui garde un genou sur son cou. L’homme se plaint de ne pas pouvoir respirer, sans que cela suscite de réaction de la part de l'agent de police. Il mourra quelques instants plus tard à l’hôpital. Cette vidéo, effroyable, a été tournée en pleine rue à Minneapolis le lundi 25 mai 2020.
 
Le policier et ses trois collègues présents ont été limogés le lendemain tout en restant en liberté après l'annonce de l'ouverture d'une enquête. Des manifestants se sont rassemblés par milliers, pas seulement à Minneapolis, tant cette affaire fait écho à d’autres cas tragiques récents et à l'impunité dont bénéficient trop souvent les policiers responsables de la mort de personnes noires aux États-Unis.

En 2014, Eric Garner, un Afro-Américain mourrait par asphyxie lors de son arrestation par des policiers blancs à New York. En 2016, un automobiliste noir était abattu sous les yeux de sa famille par un policier du Minnesota lors d’un banal contrôle de police. Plus récemment, le 23 février 2020, Ahmaud Arbery, 25 ans, a lui aussi été abattu pendant qu’il faisait son jogging à Brunswick, en Géorgie. Ce n’est qu’après la diffusion d'une vidéo du drame, que trois personnes ont été arrêtées, dont un ancien policier à la retraite.

Entre 2015 et 2020, ce sont près de 1200 Afro-Américains qui ont été abattus par les forces de police et on continue d'assister à une justice à deux vitesses où la couleur de la peau et la situation sociale jouent un rôle prépondérant. Début 2017, les afro-américains représentaient 34,5 % des détenus au sein des prisons fédérales alors qu'ils ne constituent que 12 % de la population. La sentence dépend à la fois de la couleur de l'accusé et de celle de la victime : une personne reconnue coupable de la mort d'un Blanc risque 20 fois plus la peine de mort que celle qui a tué un Noir.

Le MRAP n'oublie pas que c'est le racisme qui a conduit Mumia Abu Jamal dans le couloir de la mort, en le maintenant en prison depuis près de quarante ans.

L’impunité dont bénéficient les policiers responsables de la mort de personnes noires n’a que trop duré ! Dans un pays où les "suprémacistes blancs" répandent en toute liberté leur idéologie mortifère, seule l'élaboration d'une société fondée sur les principes de justice et d'égalité, aboutira à la mise hors-jeu des théories racistes.

 Paris, 28 mai 2020

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