MRAP 66 - L'ACTU DU COMITÉ LOCAL DE PERPIGNAN
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Débat avec les jeunes volontaires en service civique accompagnés par la Ligue de l'Enseignement

4/30/2018

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Le 26 avril, nous étions dans les locaux de la Ligue de l'Enseignement auprès d'un groupe de vingt jeunes volontaires service civique, qui suivait ce temps d'information et d'échange dans le cadre de leur mission au sein de structures sociales, sportives, culturelles...

La thématique de cette journée portait sur "Discriminations, de quoi parle t-on ?" Le Défenseur des Droits, M. Gilles Thellier, était intervenu sur la première partie de la journée, pour poser le cadre légal. Notre intervention, qui s'est avérée complémentaire, était basée sur un jeu de rôles.

Cela a permis aux jeunes de prendre la parole, en décrivant des situations de discriminations vécues par eux ou leur entourage, en débattant de  l'influence de nos expériences personnelles et de notre éducation sur les représentations que nous construisons à l'égard des autres, en se questionnant sur la possibilité de changer les choses à échelle individuelle ou collective...


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LOI ASILE ET IMMIGRATION

4/26/2018

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ACTION DES ÉTATS GÉNÉRAUX DES MIGRATIONS 66

4/20/2018

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Communiqué du MRAP 66 "pour que l'enseignement de la langue arabe reste dans le giron de l’Education Nationale"

4/13/2018

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Le MRAP 66, association vigilante à l'égalité des Droits à l'éducation et au respect de toutes les cultures, est atterré par l'annonce de la diminution des heures dédiées à l'enseignement de la langue arabe au lycée Arago, seul établissement agréé par l'Éducation nationale dans les Pyrénées Orientales. 
Nous savons l'excellent travail dispensé par le professeur d'arabe, M. Mniai. En dehors des cours de langue, il a ouvert des espaces de réflexion et d'approfondissement des champs culturels, en faisant venir d'éminents intellectuels pour ses élèves mais aussi pour un large public. 

Nous savons la discrimination sociale et la ghettoïsation des personnes originaires du Maghreb en France.
Nous savons l'extrême importance du rôle joué par l'Éducation nationale pour la formation des jeunes, dans le cadre qui est le sien, celui de l'égalité, la fraternité, la liberté, la laïcité, le respect.
Nous savons la richesse du multilinguisme, qui est un facteur de réussite pour tous les citoyens.

Priver les élèves arabisants de cette double culture et les renvoyer vers des associations religieuses ou extérieures, c'est aller à contre courant de toutes les préconisations pour lutter contre les extrémismes, c'est aller à l'encontre des valeurs de la République, des valeurs de l'école laïque, c'est prendre d'énormes risques, jouer aux apprentis sorciers.

Comment peut-on penser que, dans une République laïque, il est possible de lutter contre le fondamentalisme, l'intégrisme religieux en confiant l'enseignement d'une langue quelle qu'elle soit, à un organisme religieux, ou à un organisme extérieur à l'Éducation nationale quel qu'il soit ?

Nous demandons non seulement que l'enseignement de l'arabe continue à être dispensé par des professeurs de l'Éducation nationale au lycée mais aussi qu'il soit envisagé de l'étendre aux écoles, collèges et universités.

Nous nous insurgeons vigoureusement contre toute décision de déléguer cet enseignement par intérêt économique de court terme, ou sous de fallacieux prétextes, à des contractuels de l'ELCO (enseignement de langue et de culture d'origine) en sous-traitance par des accords bilatéraux avec les ambassades des "pays d'origine" parce que cela va totalement à l'encontre de l'intérêt des élèves.

Maryse Martinez
Présidente du MRAP 66


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INTERVENTIONS PÉDAGOGIQUES AUPRÈS DES JEUNES

4/12/2018

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Dans le cadre de la convention de partenariat signée avec la Protection Judiciaire de la Jeunesse 66/11,  le MRAP 66 est intervenu mercredi dernier auprès des jeunes de l'UEAJ (Unité Éducative d'Activités de Jour), à l'occasion d'un ciné-débat organisé par l'une des éducatrices spécialisées de la structure.
Ce rendez-vous mensuel proposait cette fois-ci le film "Le chat du rabbin", tiré de la bande dessinée de Joann Sfar. 

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Ce support très riche permet d'aborder diverses thématiques : les religions, le voyage initiatique, le racisme, l'antisémitisme, l'égalité des sexes...

Le débat avec les jeunes a notamment porté sur les représentations véhiculées sur les  différences culturelles et religieuses menant parfois au racisme et aux discriminations, mais aussi sur les valeurs de vivre-ensemble et d'humanité qui unissent les individus. Au delà, ce ciné-débat nous parait être un espace de paroles, qui  permet aux jeunes d'exprimer des expériences personnelles ou émotions, qu'évoquent chez eux ces thématiques.

Alger, années 1920. Le rabbin Sfar vit avec sa fille Zlabya, un perroquet bruyant et un chat espiègle qui dévore le perroquet et se met à parler pour ne dire que des mensonges. Le rabbin veut l'éloigner. Mais le chat, fou amoureux de sa petite maîtresse, est prêt à tout pour rester auprès d'elle... même à faire sa bar mitsva ! Le rabbin devra enseigner à son chat les rudiments de loi mosaïque ! Une lettre apprend au rabbin que pour garder son poste, il doit se soumettre à une dictée en français. Pour l'aider, son chat commet le sacrilège d'invoquer l'Eternel. Le rabbin réussit mais le chat ne parle plus. On le traite de nouveau comme un animal ordinaire. Son seul ami sera bientôt un peintre russe en quête d'une Jérusalem imaginaire où vivraient des Juifs noirs. Il parvient à convaincre le rabbin, un ancien soldat du Tsar, un chanteur et le chat de faire avec lui la route coloniale...

​Le vendredi 13 avril, nous étions présents auprès de  la classe relais du collège Saint-Exupéry de Perpignan. Nous avons utilisé le photo-langage, technique par laquelle chaque personne choisit une photographie qui l'interpelle, la décrit et en propose son interprétation. Cela permet de faire émerger au sein du groupe, les représentations dont découlent parfois les discriminations. Ainsi, nous avons pu aborder différents critères de discrimination avec les jeunes (le sexisme, le handicap, l'homophobie, l'exclusion sociale...), en apportant des informations complémentaires au cours de la discussion. 

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SOIRÉE-DÉBAT ORGANISÉE DANS LE CADRE DES ÉTATS GÉNÉRAUX DES MIGRATIONS

4/3/2018

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Le MRAP 66 est partie prenante des États Généraux des Migrations, "processus dans lequel sont impliqués des centaines de collectifs  et d'associations locales ou nationales  présentes sur le terrain aux côtés des personnes étrangères. Partout en France, et dans le département des Pyrénées Orientales, ces acteurs se concertent et organisent des évènements publics pour dénoncer la politique actuelle et être force de proposition afin d'obtenir un changement radical de la politique migratoire."

Samedi 31 mars 2018, à la salle des Libertés de Perpignan, l'Assemblée des
États Généraux des Migrations 66* a organisé une soirée-débat,  avec la présence de l'association SOS Méditerranée (www.sosmediterranee.fr) et d'Alice Gautreau, sage-femme pour Médecins Sans Frontières, qui effectue des missions à bord de l'Aquarius, bateau de l'association SOS Méditerranée, dont l'équipage vient en secours aux migrants qui tentent la traversée depuis les côtes lybiennes.​

​Après la diffusion du reportage "L'Odyssée de l'espoir", Alice Gautreau a témoigné de son expérience.  Elle a su retranscrire au public l'aspect tragique de ces situations mais également l'espoir et l'humanité qui en ressortent. L'émotion des participants est palpable : questionnements, indignations, témoignages…viennent ponctuer le débat.
Alice Gautreau a ensuite dédicacé son livre "Seuls les poissons morts suivent le courant". Comme elle l'a écrit sur notre exemplaire,  "A tous les militants du MRAP, on continue la lutte !"

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*Les membres de l'Assemblée des États Généraux des Migrations 66 : Africa family, Amnesty International, ASTI, Cimade, Collectif « Bienvenue aux migrants en Conflent », Coup de soleil, RESF, Welcome to migrants, FSU, PC, NPA, Comité de soutien aux sans papiers Perpignan, LDH, FREE, Bouge toit, MRAP 66, PC et plusieurs militants engagés dans la solidarité avec les migrants 

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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU MRAP 66

4/3/2018

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Le 24 mars dernier, avait lieu l'Assemblée Générale du MRAP 66.
Ce fut l'occasion pour le Bureau de présenter les actions menées en 2017 et les perspectives de l'association sur l'année 2018.

Nous remercions l'ensemble des participants, adhérents et sympathisants, et invitons tous ceux et celles qui partagent nos valeurs anti-racistes, à rejoindre l'équipe, par une adhésion de soutien ou une implication bénévole dans nos actions
.


Ci-dessous le discours d'ouverture de la Présidente :


"Merci à vous toutes et tous d’être là, associations, institutions, partenaires et amies, adhérentes adhérents du MRAP ou pas !

Notre A.G. tombe quelques jours à peine après le 21 mars, journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale.
Vous savez que cette journée a été créée à l’initiative de l’ONU depuis le massacre de Sharpeville en 1960 en Afrique du Sud, Les manifestants protestaient contre l’apartheid.
Les problèmes de discriminations restent d’une brûlante actualité. Et cette actualité n’est pas seulement celle de la solidarité internationale due aux victimes de discriminations raciales dans le monde, mais elle est aussi et plus que jamais, celle de l’Europe et de notre pays, la France.

les signaux d’alerte actuels sont malheureusement nombreux : 
  • L’installation au premier plan de la vie politique de partis ouvertement racistes et xénophobes,
  • les coalitions nouvelles entre forces de droite et d’extrême droite accédant ou aspirant au gouvernement dans plusieurs pays européens,
  • les discriminations racistes structurelles dans le travail, le salaire ou l’accès au logement,
  • la mise en concurrence des travailleurs selon leur origine pour favoriser le dumping social au détriment du principe « à travail égal, salaire égal »,
  • la banalisation des discours racistes, leur présence virulente sur les réseaux sociaux,
  • la montée des violences,
  • le traitement indigne et inhumain des migrants…

Il est clair que les visages hideux du racisme ont pris de nouvelles formes, visant de nouvelles cibles, Mais nous savons que la concurrence des racismes et de leurs victimes est un piège. Les racismes d’hier et d'aujourd'hui ne s’évacuent pas les uns les autres. Ils s’additionnent. Tous doivent être combattus.

La lutte contre le racisme et l’antisémitisme marque fortement  les combats du MRAP.
L’antisémitisme reste un pilier de cette lutte.
Et ceux qui persistent, à l’instar de Netanyahou et de ses relais politiques en France, à qualifier d’antisémites les prises de position contre la colonisation des territoires occupés par Israël en Cisjordanie ou la décision de Trump sur Jérusalem en violation du droit international rendent un très mauvais service à la cause antiraciste.

Au MRAP, il nous semble que : unir d’un même mouvement la lutte contre l’antisémitisme, et la lutte pour la fin de la colonisation, avec la solution à deux États, assurant la paix et la sécurité aux Israéliens comme aux Palestiniens, est un des chemins les plus sûrs pour faire reculer les racismes.
Les racismes ne peuvent qu’alimenter les logiques de guerre, d’humiliation et de spoliation.

Une petite parenthèse, effrayante cependant : Je vous renvoie à la nomination de Mike POMPEO par TRUMP aux ministère des affaires étrangères ex patron de la CIA  favorable à l'espionnage de masse et de dirigeants étrangers,
 
Mike Pompéo, est connu pour être des plus cruels des « aigles » de l’équipe de Trump, notamment, et spécialement, dans sa gestion de ce qui se rapporte à l’Islam. Il s’était, en effet, illustré, auparavant par ses propos et ses projets anti-Islam, au point qu’il a été gratifié par les médias américains du titre du « plus fervent combattant anti-Islam »
Juste une petite citation de ce chaleureux et fraternel personnage :
"Pour que la CIA connaisse le succès, elle doit être agressive, brutale, implacable et impitoyable", dit-il après avoir été nommé à la tête de l'agence de renseignement la plus connue du monde.

Le chaos du monde actuel est propice à la montée de tous les racismes. La mondialisation capitaliste en crise porte en elle l’exploitation et la mise en concurrence sans fin des peuples et des dominés, comme la nuée porte l’orage. Et dans la guerre du tous contre tous, racismes et replis nationalistes et xénophobes trouvent un terreau fertile.
Tour à tour, Roms, musulmans, migrants… deviennent la cible, « ennemi » utile pour diviser entre eux les plus faibles opprimés.

La stigmatisation systématique des musulmans, volontairement confondus avec l’islamisme, ou pire avec le terrorisme, comme les lois et les murs anti-migrants construisent quotidiennement le discours raciste. L’islamophobie est au cœur de ce dispositif idéologique. Elle procède à tous les amalgames, confondant dans un même mouvement racisme anti-immigré et dénaturation de la laïcité.
Laïcité qui est alors réduite à la défense des valeurs chrétiennes, à l’opposé du principe de liberté de conscience qu’elle est censée garantir. Le MRAP déconstruit et combat l’islamophobie pour cela.

Inégalités sociales, précarisation et nouveaux modes d’exploitation du travail, assignations territoriales dans des quartiers délaissés par la République, discriminations racistes structurelles dans les politiques publiques (embauche, logement, contrôle au faciès) se conjuguent pour mettre à l’index, en état de sous-citoyenneté, une part croissante de la population, et singulièrement de la jeunesse.
Le caractère de masse de ce racisme institutionnel, a peut-être été sous estimé.
Le racisme institutionnel est une injure quotidienne au principe d’égalité dans la République. Les stigmates du colonialisme imprègnent les imaginaires et les réalités d’aujourd’hui.

Notre objectif est d’aider à libérer la parole, à organiser l’action de toutes les victimes de ces discriminations, de toutes celles et de tous ceux qui se vivent comme « les racisés » de la République, à écouter et entendre les souffrances que cela engendre. Face à ceux qui veulent diviser ou séparer, grâce à nos actions et nos soutiens, construisons une égalité réelle qui reconnaisse pleinement la pluralité et la diversité des individualités, des cultures, des identités.

Je ne peux pas finir mon introduction sans dire que la circulaire Collomb est inhumaine et que le projet de loi Asile  et Immigration est un projet hautement dangereux et discriminatoire.
Les deux, suscitent de vives inquiétudes dans tous les milieux : associations, partis politiques, syndicats, travailleurs sociaux (grève OFPRA CNDA...) et bien sûr chez les migrants, les réfugiés qui sont dans une totale détresse, une totale incompréhension.

 Parmi les mesures annoncées :
• Réduction du délai pour introduire une demande d’asile
• Réduction du délai de recours en 15 jours
• Non suspensivité du recours pour les demandeurs d’asile en procédure accélérée
• Recours accru des communications dématérialisées (SMS, audience par visioconférence)
• Notification du rejet de la demande d’asile dès la lecture de la décision CNDA
• L’allongement de la durée maximale de placement en rétention de 45 à 90 jours voire 135 : privation de liberté des demandeurs d’asile placés en procédure Dublin
• Discrimination territoriale : en Guyanne délai d’introduction de la demande d’asile, abaissée à 7 jours

L’accélération des procédures, prônée par le projet de loi se focalise uniquement sur la demande d’asile et la sortie des dispositifs d’hébergement. Le projet passe sous silence l’un des principaux problèmes à savoir : l’accès au guichet de la Préfecture pour faire valoir son droit au séjour dans les délais impartis du fait de la saturation des dispositifs (PADA, GUDA avec la Préfecture et l’OFII).

Par conséquent, la grande majorité des demandeurs d’asile seraient placés en procédure accélérée et ne bénéficieraient pas d’une égalité de traitement dans leur droit au recours et au maintien de l’hébergement.
Chacun sait que les conditions de vie des exilés, avant de se voir attribuer une place en hébergement, sont extrêmement précaires, renforçant leur vulnérabilité.
Nous assistons actuellement à un retour en arrière. Une telle accélération des procédures rendra discriminatoire l’accès aux droits, à l’information et au séjour.
Le risque est celui d’une inégalité de traitements et de justice entre les personnes en fonction du type de procédure, de leur situation géographique, des conditions d’hébergements ou de non hébergement, de la maîtrise de la langue…
Le temps administratif ne prend déjà pas en compte le temps nécessaire à une personne pour faire valoir son histoire et ses droits, pour se reconstruire et s’intégrer, pour se soigner.
Le projet de loi « Asile et immigration » ainsi que la circulaire Collomb entretiennent une confusion entre les questions d’immigration, de séjour illégal et de demande d’asile.
Le fait de vouloir :
     • Placer en CRA des demandeurs d’asile en recours
     • Assigner à résidence des demandeurs d’asile placés en procédure Dublin
     • Remettre en question l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence
dénote du caractère coercitif de la loi qui vise à incriminer les migrants alors même qu’ils ont des droits.
Je parlais au début  du 21 mars. Je terminerai en pensant à nouveau à cette journée et en posant la question :
Comment expliquer qu’en France, 45 ans après la loi réprimant le racisme et les discriminations raciales, se perpétuent des pratiques discriminatoires ? Comment se fait-il que persistent les stéréotypes et préjugés racistes ? Que les étrangers se voient refuser l’égalité réelle que leur reconnaît la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et que formalise la loi ?
Le MRAP poursuivra son combat contre le racisme la xénophobie et toutes formes de discriminations, et apportera sans relâche son soutien total, actif et solidaire à celles et ceux qui subissent ces barbaries

Nous disons avec Jean Jaurès :
« C’est qu’au fond, il n’y a qu’une seule race : l’humanité. »

Maryse Martinez


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